L’association APPSCPI est celle de tous les épargnants en supports collectifs immobiliers (SCPI ; SIIC ; etc.) soucieux de promouvoir dans le domaine qui leur est propre, toutes propositions constructives susceptibles de conduire à un fonctionnement équilibré et harmonieux de leurs supports d’épargne et au développement fructueux de cette dernière.
Elle est également l’association des supports d’épargne eux-mêmes, lorsqu’ils ont collectivement décidé de disposer par son intermédiaire d’informations véritables et vérifiées qu’elle est l’un des rares organismes, si ce n’est souvent le seul, à pouvoir réunir et communiquer.
Elle est une association d’expression et de propositions constructives. Elle est, si besoin, une association de défense opiniâtre quand cette forme d’action est justifiée.
L’association APPSCPI, de manière concrète, vise à représenter les épargnants, au sens large. Les représenter dans les diverses étapes de la vie sociale des supports d’épargne. Représenter également les supports d’épargne eux-mêmes et leurs souscripteurs auprès des pouvoirs publics.
Elle bénéficie aujourd’hui d’une notoriété considérable, qu’il lui appartient, certes, de développer et de parfaire, à la mesure de ses moyens humains et financiers.
Pour conduire son action, l’association APPSCPI a besoin de la disponibilité et de la générosité de ses membres. Ses capacités financières sont comptées,
Outre les publications internes destinées à ses adhérents, l’association APPSCPI s’efforce de répondre aux questions qui la concernent par la voie de communiqués ou entretiens de presse, ainsi qu’au moyen de son site Internet : www.appscpi.com
Des informations fantaisistes circulent parfois sur certains forums ou en certains cénacles ; elles émanent de détracteurs patentés, voire rémunérés, que dérange l’action assidue et documentée de l’association APPSCPI.
Les instigateurs tentent ainsi de réduire la portée des thèses de la véritable association des épargnants, tout en dissimulant la vacuité ou la duplicité de certaines des leurs.
Certains interlocuteurs de bonne foi peuvent parfois se trouver désorientés par ces manouvres. Il y a quelques années, elles sont allées jusqu’à une action en justice intentée par un quarteron de personnes venues demander la dissolution judiciaire de l’association.
L’action étant mal fondée et abusive, l’APPSCPI en est sortie victorieuse fin 2006, non sans avoir été partiellement dédommagée par ses détracteurs. Cependant, elle a dû y consacrer plusieurs dizaines de milliers d’euros, financés sur ses recettes courantes, elles-mêmes complétés de dons gracieux de ses adhérents et sympathisants.
Ceux-ci n’avaient évidemment aucune envie d’être privés, par étouffement financier, du seul véritable garde-fou sur lequel ils peuvent compter en toutes circonstances. Notamment, comme aujourd’hui, dans les pires difficultés vues depuis un grand nombre d’années.
Aujourd’hui, le dénigrement dont l’association APPSCPI était la cible n’ose plus s’effectuer ouvertement comme naguère, dès lors que les instances publiques ont été conduites à tenir compte de son action énergique, construite, raisonnable, argumentée et positive. Néanmoins, devenu plus insidieux il s’exerce toujours.
C’est sans doute une forme de rançon du succès. Le savoir, s’en défier en sachant s’en tenir aux faits pour juger de la réalité est la meilleure réponse à apporter.
L’association est composée d’adhérents et de sympathisants.
La première notion reçoit une définition statutaire : est adhérent – personne physique ou morale – quiconque acquitte une cotisation à l’association, après lui avoir adressé une demande d’adhésion que le conseil d’administration a agréée.
La seconde notion n’est pas statutaire. Elle n’en est pas moins précise, dans le vécu quotidien de l’association : il s’agit de personnes ayant des rapports fréquents et actifs avec l’association, conduisant à une démarche concrète.
Soit pour en avoir été adhérentes et avoir provisoirement omis de renouveler (chaque année un contingent variable se trouve dans ce cas, sans qu’on puisse y déceler un caractère systématique, chronique ou calculé).
Soit pour s’être contentées d’effectuer un don ciblé, notamment pour frais de procédures ou pour accroissement des participations en SCPI. L’association possède ainsi directement des parts dans plus de cinquante d’entre-elles (sur cent trente SCPI environ).
Soit qu’elles aient participé à une ou plusieurs initiatives concrètes de l’association :
Les personnes adhèrent lorsqu’elles ont compris que c’est la meilleure manière de préserver leurs légitimes intérêts. Il n’est nul besoin de forcer les choses et ceux qui veulent se situer dans un accompagnement plus sporadique peuvent l’envisager durablement, dans le plus grand respect.
Les ressources financières de l’association, garantes de sa totale indépendance, sont assurées par les cotisations de ses adhérents, les dons des adhérents et des sympathisants, les revenus du patrimoine associatif (fond associatif et réserves).
Un événement important est intervenu en 2006, puisque plusieurs SCPI, sur recommandation de leurs Conseils de surveillance, ont décidé lors d’assemblées générales, d’adhérer à l’association APPSCPI. Aujourd’hui trois SCPI, comptant parmi les plus performantes, sont dans ce cas. Leurs associés ont ainsi davantage de moyens que beaucoup d’autres; de s’assurer que leur contribution ne sera pas retournée sans contrôle contre propres intérêts.
Il va de soi que l’APPSCPI considère qu’il n’appartient pas aux SCPI d’acquitter une quelconque cotisation à l’organisation professionnelle des sociétés de gestion.
Y consentir est avoir la certitude que l’argent ainsi prélevé par les gérants, souvent sans autorisation, sera utilisé contre l’intérêt des associés de SCPI eux-mêmes.
Un exemple flagrant est fourni par l’affaire OPCI, dans laquelle se sont trouvées engagées bien malgré elles et sans aucune justification, les SCPI et dont cette organisation professionnelle revendique urbi et orbi – sur son site Internet notamment – être l’instigatrice.
Qui s’interroge sur l’avenir de cette affaire peut examiner les crises successives qui ont frappé les fonds allemands, espagnols, britanniques, puis plus récemment suisses, inspirateurs ou cousins malencontreux des OPCI, qui n’ont pas eu comme ces derniers, la chance de ne recevoir qu’une diffusion confidentielle, grâce au bon sens des épargnants. Pour l’association APPSCPI, les SCPI sont un support à préserver .
Si cette organisation professionnelle des gérants était susceptible d’apporter quelque chose de positif aux SCPI, cela devrait se faire dans un cadre régulier et autorisé, par la voie de résolutions des associés et émission de véritables factures dûment justifiées et contrôlées.
Mais certainement pas en prétendant parler au nom des épargnants alors que ceux-ci sont totalement absents de ses instances et ne peuvent y exercer aucun contrôle.
Le Bureau comporte trois membres et le Conseil d’administration huit membres.
L’association APPSCPI :
Le profil des adhérents de l’association APPSCPI est très varié. Outre certaines SCPI, les récentes adhésions sont souvent le fait de « multi-porteurs » avisés, associés anciens de SCPI. L’association comporte aussi dans ses rangs plusieurs adhérents impliqués dans une promotion professionnelle des supports collectifs d’épargne immobilière.
Même si à ce jour on ne compte pas parmi ses membres d’investisseur institutionnel, l’association ne nourrit aucun ostracisme et ne délivre aucune exclusive. Elle examinerait par conséquent toute candidature qui se présenterait, dès lors que l’adhérent manifesterait l’intention de respecter loyalement l’objet associatif statutairement défini.
L’APPSCPI est présente, via ses membres, dans toutes les SCPI. Elle est associée en nom propre dans près de soixante SCPI. Elle est élue directement dans une dizaine de Conseils de surveillance de SCPI.
Par exception et si nécessaire, toutes autres voies de concertation et de conciliation ayant échoué, l’APPSCPI s’appuie sur les services d’un cabinet d’avocats expérimentés.
Le Bureau